élégie - translation to English
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élégie - translation to English

COMPOSITION BY GABRIEL FAURÉ
Elegie, Op. 24; Elegy, Op. 24; Elegy (Faure); Elegie (Faure); Élégie, Op. 24
  • Fauré in early middle age
  • page=233

élégie         
n. elegy, lament, lamentation
élégi      
n. elegy, lament, dirge, mournful poem

Wikipedia

Élégie (Fauré)

The Élégie (Elegy), Op. 24, was written by the French composer Gabriel Fauré in 1880, and first published and performed in public in 1883. Originally for cello and piano, the piece was later orchestrated by Fauré. The work features a sad and somber opening and climaxes with an intense, tempestuous central section before returning to the elegiac opening theme in C minor.

Examples of use of élégie
1. Robert Frank scande son élégie de refrains visuels – juke–boxes, banni';res étoiles, routes et stations–service – qui en viennent ŕ symboliser le pays tout entier.
2. Terrence Malick, cinéaste myst';re Sept ans apr';s «La Ligne rouge», le cinéaste–po';te est de retour avec «Le Nouveau Monde», magnifique élégie basée sur la légende de Pocahontas.
3. Felix Gonzalez–Torres (1'57–1''6), dont certaines installations sont faites de bonbons entassés dont le poids est celui des amis malades (les spectateurs sont invités ŕ manger ces sucreries), est l‘auteur d‘une photo devenue l‘embl';me de la maladie: un lit défait dont les répliques immenses furent installées dans les rues de New York et qui est une élégie ŕ son compagnon disparu (1''1). Felix Gonzalez–Torres mourra du sida en 1''6.
4. A la fois le portrait de la m';re, comme une femme simple et solaire et lumineuse – et ça, c‘est tr';s réussi et tr';s touchant – et puis il y a l‘homme qui demande pardon [...] Lŕ, quelque chose tourne ŕ vide puisque la m';re est morte et que de toute façon il n‘y aura jamais de pardon.» Arnaud Viviant a réglé le probl';me en décrétant: «C‘est de la littérature ŕ papa.» Michel Crépu (Revue des Deux Mondes) a répété, apr';s s‘ętre moqué d‘un certain «helvétisme»: «C‘est terrible, c‘est terrible!» Enfin, Jean–Louis Ezine, du Nouvel Observateur, a reconnu, non sans ironiser sur l‘emploi du verbe «poigner», qu‘il «y avait quand męme quelques tr';s belles pages». öDans Libération, Philippe Lançon voit dans Pardon m';re une sorte d‘autoportrait ambigu: «Portrait, pri';re, po';me, élégie, confession ŕ celle qui détestait la confession: le fils écrivain mélange tout, unit tout, rabâche tout.