Nom
/ˌtɪr.ənˈsɪd/
Le terme "tyrannicide" désigne l'acte de tuer un tyran ou un tyran lui-même. Il s’agit d’un mot principalement utilisé dans les discussions politiques et historiques pour évoquer des actions violentes contre des dirigeants considérés comme tyranniques. Ce mot n'est pas courant dans les conversations quotidiennes et est plutôt rencontré dans un contexte écrit ou académique, en particulier dans les études de philosophie politique, l’histoire et le droit.
L'acte de tyrannicide a été justifié par ceux qui croyaient que le dirigeant opprimait le peuple.
Many political philosophers have debated the ethics of tyrannicide throughout history.
De nombreux philosophes politiques ont débattu de l'éthique du tyrannicide tout au long de l'histoire.
In a desperate bid for freedom, the rebels resorted to tyrannicide to overthrow the oppressive regime.
Le terme "tyrannicide" n'est pas fréquemment utilisé dans des expressions idiomatiques courantes, mais il peut être lié à des concepts et des discussions politiques plus larges sur la légitimité des actions violentes contre les tyrans. Voici quelques exemples en utilisant des contextes historiques ou philosophiques :
La justification du tyrannicide repose souvent sur la notion de légitime défense des opprimés.
"Philosophers like Locke and Rousseau explored whether tyrannicide could be morally permissible."
Le mot "tyrannicide" est dérivé du grec ancien "τυραννίς" (tyrannis), signifiant "tyrannie", et "κτείνω" (ktenō), qui signifie "tuer". Ainsi, il se traduit littéralement par "le tueur de tyrans".
Synonymes : - Assassinat (dans un contexte politique) - Régicide (si le tyran est également un roi)
Antonymes : - Loyauté (envers un tyran) - Servitude (sous un tyran)
Le terme "tyrannicide" porte une connotation complexe et souvent controversée, étant donné les implications morales et éthiques de l'acte de tuer un dirigeant, même s'il est considéré comme un tyran.