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Dictionnaire français-russe

"    (    -    0    1    2    3    4    5    6    7    8    9    A    B    C    D    E    F    G    H    I    J    K    L    M    N    O    P    Q    R    S    T    U    V    W    X    Y    Z    «    °    Μ    À        Æ    Ç    È    É    Ê    Π   Ô    Œ    Α    Β    Γ    А    Б    В    Г    Д    Е    Ж    З    И    Й    К    Л    М    Н    О    П    Р    С    Т    У    Ф    Х    Ц    Ч    Ш    Щ    Э    Ю    Я    Ё               
Mots commençant par "-": 4805
- C'est chiant qu'on puisse pas fumer ici, marmonna-t-elle.
- C'est confidentiel. C'est...
- C'est de bonne guerre.
- C'est de la pure folie! Jamais elle ne pourra se réveiller.
- C'est donc qu'il existe un voleur qui n'est ni vous, ni Kappel, ni Turner.
- C'est donc que j'ai raison. J'ai la truffe pour flairer ces salopards.
- C'est du roman, ton truc.
- C'est déjà beau de ne pas avoir perdu quelques doigts dans la bataille.
- C'est déjà commencé.
- C'est en cours.
- C'est en cours. Pour l'instant, on sait que c'était un psychiatre renommé.
- C'est en route.
- C'est encore Blücher ? cria le docteur, ironique.
- C'est encore loin ?
- C'est entendu, monsieur Holmes. "
- C'est exactement la situation. Watson était en train de mes demander des ordres.
- C'est ici qu'il est, dit-il.
- C'est ici que j'ai rencontré Raoul.
- C'est ici, dit-il au chauffeur de taxi. Attendez-moi.
- C'est impossible et tu le sais bien!
- C'est impossible, coupa la technicienne. Nos machines ne sont pas conçues pour ça.
- C'est instantané ? demanda-t-elle, surprise.
- C'est l'amour, - susurra sa femme. - L'amour lui réussit...
- C'est l'hallu, murmura la magistrate, le regard rivé sur le corps.
- C'est la bible des Indiens Mayas Quichés du Mexique, lui crachai-je au visage.
- C'est la bouteille à l'encre, dit le maire.
- C'est la grande rapidité, fit-elle sèchement.
- C'est la mienne. Pourquoi ne vous êtes-vous pas aperçue de la disparition de votre frère ?
- C'est la première fois qu'il disparaît comme ça ?
- C'est la procédure.
- C'est le bruit le plus étrange, le plus singulier que j'aie jamais entendu.
- C'est le grand branle-bas, fit, pour lui seul, le père Kopf, tout réjoui.
- C'est le nom qu'on vous a donné ?
- C'est le nombre d'échelons de l'échelle de Jacob, me remémora télépathiquement Raoul.
- C'est le prêtre, souffla le secrétaire.
- C'est le rapport d'autopsie de Tzevan Sokow. Je ne sais pas où il se l'est procuré.
- C'est le terme exact, - dis-je, et je détournai le visage à mon tour.
- C'est les policiers, monsieur Noirgoutte, dit le garde champêtre.
- C'est lui qui me l'a dictée.
- C'est là !
- C'est magnifique, approuva à contrecoeur un moine bouddhiste.
- C'est merveilleux ! On dirait son portrait.
- C'est moi qu'ai apporté les fonds.
- C'est moi qui l'ai interrogé. Qu'est-ce qu'il vous a dit ?
- C'est moi, dit-il enfin.
- C'est moi, fit-elle. Rien de neuf ?
- C'est moi.
- C'est moi. Capitaine Delannec.
- C'est moi. On se connaît ?
- C'est mon amant, - dis-je gaiement.
- C'est mon enquête, salopard ! Réponds à mes questions !
- C'est mon intention.
- C'est oui ou c'est non ?
- C'est pas avec ça que je vais devenir préfet.
- C'est pas clair. Sans doute d'autres clodos.
- C'est pas croyable, finit-elle par lâcher d'une voix rauque.
- C'est pas ici qu'on guérira, en tout cas.
- C'est pas incompatible.
- C'est pas mon boulot mais j'ai entendu le légiste causer avec les keufs.
- C'est pas toujours blanc, l'héroïne ?
- C'est pas tout, continua Le Coz. Ils l'ont analysé : il porte des traces d'iodure d'argent.
- C'est pas une balise, c'est un traceur GPS.
- C'est peu probable. Je crois me rappeler qu'il ne portait aucune marque.
- C'est peut-être une bêtise, mais j'ai constaté un jour un phénomène étrange.
- C'est plutôt normal entre ces murs.
- C'est pour Janusz ? demanda Le Coz.
- C'est pour chercher du travail, m'sieur, dit-il sur un ton modeste.
- C'est pour quoi ?
- C'est pour une soirée costumée. Je veux me déguiser en clochard.
- C'est pour ça que tu as tué Ouranos ?