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Woordenboek ChatGPT

Frans-Russisch woordenboek

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- Avant Sylvie, tu as connu des histoires sérieuses ?
- Avant de mourir, le corps produit souvent des morphines naturelles en abondance.
- Avant la douche, tu passes au vestiaire.
- Avec ce qu'il s'envoyait dans les veines, il n'y a pas de quoi s'étonner.
- Avec ce que je lui ai donné, il va dormir jusqu'à demain matin.
- Avec ces gars-là, la camisole n'est jamais loin.
- Avec cette opération, je m'en vais enfin le rejoindre.
- Avec des intentions sur la succession ?
- Avec la volaille ?
- Avec le crédit de ta baraque ? Celui de ta bagnole ? Les fringues de tes mômes ?
- Avec ma caisse.
- Avec mon fric ? Tu te fous d'ma gueule ?
- Avec plaisir, fit-elle en souriant. Mais je dois d'abord passer un coup de fil.
- Avec quel fric ?
- Avec toi, ça doit être la position du missionnaire, une prière et dodo.
- Avec un annuaire et une clé à molette.
- Avec un fusil hypodermique. Il l'a piqué et l'a décapité.
- Avec un peu de chance, on pourrait même accoucher de la réincarnation de Freddy, remarquai-je.
- Avec ça ? demanda Jaffar en brandissant le cliché.
- Avec émasculation ?
- Avez-vous fait votre testament, Sir Henry ?
- Avez-vous jamais pensé qu'il était fou ? Je veux dire : son frère.
- Avez-vous remarqué le chien noir? demanda la Brambilla.
- Avez-vous répondu vous-même ?
- Avez-vous toujours espoir de le découvrir ? chuchota-t-il.
- Avez-vous trouvé cela intéressant ?
- Avez-vous une explication à m'offrir ?
- Avez-vous une meilleure explication à fournir ?
- BOUGE-TOI LE CUL. V'là le fourgon.
- Bah!
- Bandes de Nazis ! J'veux parler à mon avocat !
- Barrymore me les a appris ; je crois que je sais ma leçon sur le bout des doigts.
- Bb... oon... jour, bégaya-t-elle, l'esprit aussi frissonnant que le corps.
- Beau procès en perspective!
- Belle histoire!
- Ben ouais. Personne ne m'a jamais aimé à part ma mère, et ma mère, justement, elle est là-haut.
- Ben oui. J'ai vu alors comme une sorte de cône ou d'entonnoir avec des choses qui tournaient.
- Ben, ciao, les amis! dit Félix en agitant ses gros doigts boudinés.
- Ben, j'suis à vos ordres, répondit Kerboz.
- Ben, ouais. Du coup, ils étaient libérés d'en bas et ils pouvaient accélérer encore un bon coup.
- Ben, ça pourrait aller mieux, murmura notre thanatonaute.
- Benoît, tu as trouvé quels matelots partiront à l'assaut de ton nouveau continent.
- Bien ! Mon ami et moi nous sommes également parés pour les cas d'urgence.
- Bien dormi? - dit mon père.
- Bien plus beau !
- Bien sûr ! Gardez votre revolver à portée jour et nuit, et ne négligez aucune précaution. "
- Bien sûr ! Mais ce n'était pas un chien de berger.
- Bien sûr ! Mais vous aviez bien quelques soupçons "
- Bien sûr que j'ai survécu à un coma.
- Bien sûr que non.
- Bien sûr que si. Vous auriez pu jouer franc jeu et m'expliquer la situation.
- Bien sûr, - dis-je avec un haussement d'épaules.
- Bien sûr, fit l'autre en fixant les fantômes du dehors.
- Bien sûr, fit le technicien d'un ton compréhensif. Bonne chance.
- Bien sûr, je ne veux pas voir un journaliste sur ce coup.
- Bien sûr, mais laissez-moi d'abord vous rappeler dans la matinée.
- Bien sûr, puisque vous ne retournerez plus sur Terre clamer à tous vents ce que vous aurez vu.
- Bien sûr.
- Bien sûr. Après la mort, impossible de prélever du sang.
- Bien sûr. C'est comme ça que Sasha a été mise au courant. On est en train de remonter le fil.
- Bien sûr. Elle a crié au délire.
- Bien sûr. J'lui ai dit : " Salut Patrick, qu'est-ce que tu fais là ? "
- Bien sûr. Je vais venir te voir. Mais on va travailler avec des médecins du Pays basque.
- Bien sûr. On s'est vus il y a deux jours dans le train de Biarritz.
- Bien sûr. On va bosser sur place, dans un labo privé.
- Bien sûr. Pas plus que tu n'es celui que tu prétends être aujourd'hui.
- Bien sûr. Rien me revient.
- Bien sûr. Tout être humain a réellement son ange gardien et son démon personnel.
- Bien sûr. Tu disais que c'était ton maître, ton mentor.
- Bien, Kappel. Très bien...