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Dicionário francês-russo

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Palavras que começam com "": 1815
– Même par brume."
– Même pour le cas de force majeure? Même par brume?
– N'alliez-vous pas attaquer outrageusement et piller votre seigneur le bailli du Palais?
– N'est-ce pas qu'il sera difficile d'y résister?
– N'est-ce pas une de ces bohémiennes qui sont arrivées l'an passé par la Porte Gibard?
– N'est-ce pas? dit le roi inquiet.
– N'oubliez jamais qu'elle est absolue, dit Lacour à voix basse, absolue et passionnée.
– N'y touchez pas. C'est une amulette; tu ferais mal au charme, ou le charme à toi.
– N'était-elle pas votre femme?
– Nathalie ne parle jamais de ses sentiments. Vous devriez le savoir.
– Nathalie s'est toujours considérée invitée partout, dit Pierre. Elle n'y peut rien.
– Nathalie vous aime, dit-il abruptement. Et j'en suis désolé.
– Nathalie, dit-il, je t'aime.
– Nathalie, dit-il, tu sais que je t'aime?
– Ne bouge pas! dit Gudule.
– Ne bouge pas. Ça va te piquer un peu et puis ce sera fini.
– Ne craignez rien, dit une voix qui ne lui était pas inconnue, c'est moi.
– Ne la troublons pas, dit Oudarde à voix basse, elle est dans son extase, elle prie.
– Ne me parle pas de lui. Ne parlons pas de lui.
– Ne ris pas, dit-elle subitement d'une voix basse, tremblante, ne ris pas. Tu ne dois pas rire.
– Nego, répliqua l'avocat.
– Ni regret ni désir. J'ai arrangé ma vie.
– Nierez-vous, dit Coictier, la force sympathique de la clavicule et que la cabalistique en dérive?
– Nom de Dieu! jura Gilles. Nom de Dieu... Tu crois que...
– Nom de qui? dit le poète.
– Non merci, dit Gilles. Je suis très bien comme ça. Tiens, qui est-ce?
– Non pas, camarade, c'est à moi l'échelle. Venez, vous serez le second.
– Non pas, dit Gervaise. On dit qu'ils viennent d'Espagne et de Catalogne.
– Non pas, répondit Mahiette.
– Non pas. À l'Hôtel de Ville!
– Non! non! Je veux parler au Directeur!
– Non! non! crièrent tous les écoliers. À bas le mystère! à bas!
– Non! non! je ne veux pas!
– Non, Monsieur, non... je veux vous dire encore...
– Non, ce n'est pas cela qu'il faut dire.
– Non, dit Gilles. C'est Pierre en nous séparant.
– Non, dit Gisquette, mais ce qu'ils ont dit jusqu'à présent.
– Non, dit-elle, c'est la première fois.
– Non, dit-elle. A moins que tu n'en aies envie.
– Non, dit-elle. Je vois bien que tu n'en as pas envie.
– Non, dit-il. Viens danser.
– Non, hurla Gilles – car la musique empirait –, j'aime cette dame.
– Non, je dîne à la maison. François doit être inquiet.
– Non, je n'ai pas de cancer. Je n'ai rien. J'ai le cafard!
– Non, non, cria la pauvre petite, j'ai besoin d'air au contraire.
– Non, non, dit-il, le hibou n'entre pas dans le nid de l'alouette.
– Non, non, je ne vous écouterai pas. M'aimez-vous? Je veux que vous me disiez si vous m'aimez.
– Non, pas du tout.
– Non, à cette femme.
– Non.
– Non. J'ai atterri par ciel pur, sans vent. Mais la tempête me suivait de près.
– Non. Je ne le connais point.
– Non. Mais sa première passion, sûrement. Et j'en suis désespéré pour elle.
– Notre-Dame donne de la besogne à l'Hôtel-Dieu, disait-il.
– Notre-Dame! cria le roi. Voilà une cage outrageuse!
– Notre-Dame! s'écria le roi. Et le remède.
– Nous allons être heureuses!
– Nous avons essayé: la ligne est coupée.
– Nous la nommons soeur Gudule.
– Nous n'entendons pas Trelew.
– Nous n'entendons pas le courrier.
– Nous ne savons pas. Trop d'orages. Même s'il manipulait nous n'entendrions pas.
– Nous parlions théâtre, dit-il avec dérision. Monsieur... pardon... Roger préfère la télévision.
– Noël! Noël!
– Noël! Noël! Noël! criait le peuple de toutes parts.
– Noël! Noël! cria le peuple.
– Néant, votre science de l'homme! néant, votre science du ciel! dit l'archidiacre avec empire.
– Oh moi, dit-elle, je le quittais pour un homme que j'aime. Lui restait seul. Tu vois...
– Oh non, dit-elle, ils savent que la chair est faible. Ils lisent les journaux, à présent.
– Oh oui! s'écrièrent toutes les jeunes filles en battant des mains.