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Dicionário francês-russo

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Palavras que começam com "": 1815
– J'irai après.
– J'y songe, sire.
– J'étouffe!
– Jacques Coppenole.
– Je comprends.
– Je crois qu'il y a beaucoup de choses que je vais accepter de toi, dit-elle.
– Je crois qu'oui, dit le prêtre.
– Je crois que c'est Chamfort, dit Nathalie.
– Je crois que c'est «pharmacie» le mot qu'ils cherchent.
– Je crois que c'est «pharmacie», dit Éloïse.
– Je crois que je vais... que nous allons rester ici, dit-il, et manger du veau froid.
– Je crois que la commère se trouble!
– Je crois que oui, belle cousine, dit le capitaine.
– Je crois, dit Claude, qu'il s'appelle Phoebus de Châteaupers.
– Je dis, mon maître, qu'on ne me pendra pas peut-être, mais qu'on me pendra indubitablement.
– Je dis, sire, que vous avez peut-être raison, que l'heure du peuple n'est pas venue chez vous.
– Je dois vous quitter, monsieur Rivière a besoin de moi pour quelques décisions graves.
– Je fouillerai, dit Gringoire, tout ce qu'il vous plaira.
– Je l'ai perdue, dit Gringoire.
– Je l'ai. Soyez tranquille. Petite flambe en baguenaud.
– Je l'espère, dit-il.
– Je le ferai demain, dit-il.
– Je le guetterai mieux une autre fois, dit-il en baissant la tête.
– Je le laisse dormir encore un peu.
– Je le prends, dit-elle.
– Je le sais pertinemment, répondit le protonotaire.
– Je le sais, répondit gravement le chaussetier.
– Je le sais, répondit l'archidiacre.
– Je le veux bien, balbutia-t-elle. Mais pourquoi votre ami ne parle-t-il pas?
– Je le veux, certes, bellement, dit-il.
– Je m'en aperçois bien aux progrès des étoles de velours, dit le marchand fourreur.
– Je m'en aperçois, dit la recluse. Voilà deux jours que je n'ai plus d'eau dans ma cruche.
– Je m'en doutais, dit le soldat.
– Je m'en moque, dit Gilles.
– Je m'en étais douté, dit Gringoire, vous n'êtes pas de France?
– Je me suis battu, bêtement comme chaque fois qu'on se bat. Tu sais avec qui, Jean? Avec Thomas.
– Je me suis mal expliqué, dit-il péniblement. Oublie tout ça. Excuse-moi.
– Je me suis saoulé, dit-il.
– Je n'ai pu le retrouver, dit froidement Quasimodo.
– Je n'ai rien à faire de la journée, dit-elle, c'est débilitant.
– Je n'ai rien à raconter, dit-il, je suis bien. La campagne était très belle, ce soir, du train.
– Je n'aime pas les situations fausses, commença-t-il noblement...
– Je n'aurai pas très froid. Quelle est la direction du vent?
– Je n'en ai pas.
– Je n'en sais rien.
– Je n'en suis pas sûr, dit Jean, paisible. Elle a son caractère, ta Nathalie.
– Je n'étais pas sûr que tu tiennes à me revoir.
– Je ne comprends pas du tout, répondit Gringoire.
– Je ne le pourrais pas, dit-elle, et même si je le pouvais, je ne le ferais pas.
– Je ne le supporterais pas, dit-il. Je viens de m'en apercevoir.
– Je ne m'étonne plus, ajouta Gervaise, que la peur des égyptiens vous talonne si fort!
– Je ne me connais pas en enfants, reprenait Agnès, mais ce doit être un péché de regarder celui-ci.
– Je ne nie, dit froidement dom Claude, ni la pharmacie ni le malade. Je nie le médecin.
– Je ne peux pas dire que c'ait été délicieux, mais tu te sens mieux, non? Exorcisé?
– Je ne peux pas, dit-elle avec désespoir, c'est la réunion des dames de la Croix-Rouge.
– Je ne pourrai aimer qu'un homme qui pourra me protéger.
– Je ne sais ce que vous voulez dire, répondit la danseuse.
– Je ne sais pas ce que vous voulez dire.
– Je ne sais pas trop ce que vous voulez dire.
– Je ne sais pas, dit-elle.
– Je ne sais pas, dit-elle. Il va falloir que je le quitte.
– Je ne sais pas, dit-il. Bonjour Pierre.
– Je ne sais pas, dit-il. On allait, j'allais.
– Je ne sais pas, répondit Gringoire.
– Je ne sais pas, répondit la malheureuse enfant, mais je suis condamnée à mourir.
– Je ne sais pas, répondit-elle.
– Je ne sais pas.
– Je ne sais pas. Mais comme les héros russes, cela m'est complètement égal. Dépêche-toi.
– Je ne sais pas...
– Je ne sais rien de toi, murmura-t-il.