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Dicionário francês-russo

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Palavras que começam com "": 1815
– Je ne sais seulement pas ton nom.
– Je ne sais, répondit-elle.
– Je ne sais.
– Je ne suis pas sûr. Quand j'ai vu qu'ils voulaient pendre les gens, je me suis retiré du jeu.
– Je ne suis pas très mondain en effet, dit Gilles.
– Je ne te demande pas d'être objectif, dit-elle sèchement et elle le quitta.
– Je ne te la conseille pas, dit Jean. Elle est bavarde comme une pie et Nathalie le saurait.
– Je ne veux pas que ce diable d'homme me retrouve, pensa Gringoire ; et il courut après dom Claude.
– Je ne vous comprends pas, dit Gervaise.
– Je ne vous dirai pas. Je crois qu'ils l'ont pendue.
– Je ne vous le reproche pas.
– Je refuse. Monsieur, je refuse!
– Je sais qu'on allait prendre quelque chose chez quelqu'un. Voilà tout.
– Je sais que j'ai besoin d'argent, répéta Jehan pour la troisième fois.
– Je sais que ça a l'air stupide, dit-elle, mais tu sais, je rendais service à beaucoup de gens...
– Je sais, dit-elle tranquillement. Mais je suis déjà amoureuse de toi.
– Je sais, dit-il. Nathalie, que dirais-tu si je revenais ce soir?
– Je saurai cela bientôt.
– Je suis bien aise de vous voir.
– Je suis content que ce soit vous, dit Garnier.
– Je suis désolé pour ce matin, commença-t-il. Je...
– Je suis désolée pour hier, dit-elle aussitôt. J'avais vraiment très peur, c'est nerveux.
– Je suis innocente.
– Je suis jalouse...
– Je suis sûre qu'il va au sabbat. Une fois, il a laissé un balai sur mes plombs.
– Je suis un philosophe pyrrhonien, répondit Gringoire, et je tiens tout en équilibre.
– Je suis venu prendre vos ordres.
– Je t'ai acheté un cadeau, dit-il.
– Je t'ai dit que je t'aimais, dit-elle d'un air maussade, te l'ai-je dit ou pas?
– Je t'aime! cria le prêtre.
– Je t'en suplie, dit une voix sauvage, dénaturée par la peur, je t'embrasse.
– Je t'explique en deux minutes une nuit de douze heures, ce n'est pas excessif.
– Je t'expliquerai, dit-il. Comment va ta tante?
– Je te dis qu'il est mort!
– Je te fais remarquer, reprit le roi, que tu n'en seras pas moins pendu pour cela.
– Je te suis quand même bien utile, conclut Jean, sans rire.
– Je vais faire du café, dit-elle d'une voix calme.
– Je vais me coucher, dit-il avec entrain. J'ai beaucoup de travail demain. Je pense à toi, tu sais.
– Je vais téléphoner, murmura-t-il machinalement.
– Je vais y passer tout à l'heure, dit-elle. Et demain à midi, je serai là. Tout va bien pour toi?
– Je veux bien, mais je n'ai pas d'argent.
– Je veux que tu me suives.
– Je viendrais te chercher, dit-elle paisiblement. Embrasse-moi.
– Je viens de me réveiller. J'ai quelques courses à faire, je vous laisse.
– Je viens de voir un médecin, dit-il.
– Je voudrais bien savoir ce que c'est que ton secret, pensa Fleur-de-Lys.
– Je voudrais vous parler... vous savez que je suis très... euh... ami avec ma sœur?
– Je voulais savoir s'il... si ça n'a pas été trop blessant, pour toi surtout...
– Je vous ai dit demain matin.
– Je vous ai dit: je vous offre une place de manœuvre.
– Je vous avais bien dit, ma soeur, que ce jeune clerc monsieur Claude Frollo est un sorcier.
– Je vous avais prévenu que c'était un fou. Vous l'avez voulu voir!
– Je vous demande pardon, monseigneur. Ce n'est pas de l'hébreu, c'est du latin.
– Je vous dis que non!
– Je vous dis que si!
– Je vous dis que si! répliqua le bourreau. Nous avons tous vu que vous étiez deux.
– Je vous dérange...
– Je vous en prie, répondez-moi! Où se trouve-t-il?...
– Je vous enverrai des bottines neuves. Mais point d'argent.
– Je vous fais donc horreur? dit-il enfin.
– Je vous passe le poste radio.
– Je vous remercie, dit-il. Je sais que vous êtes très occupé et que c'est Jean qui...
– Je vous remercie, monsieur.
– Je «voulais» rester, dit-il, quand je t'ai appelée. Et puis j'ai décidé brusquement de sortir.
– Je... Tu dormais, dit Gilles désespérément.
– Je... j'ai cru...
– Jehan, Jehan, la fin sera mauvaise.
– Jehan, il faut songer sérieusement à vous corriger.
– Jehan, mon ami, vous êtes ivre, disait l'autre.
– Jehan, vous n'avez point d'âme.