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Frans-Russisch woordenboek

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Woorden die beginnen met "J": 3895
J
J ée
J = jaune
J e suis au Paradis. J'étais venu pour en préserver Rose, quelle dérision!
J point
J'AI TUÉ DEUX HOMMES.
J'achevai in petto: «... et pour les petits Chinois.»
J'admirai un instant sa confiance de mâle.
J'admirais qu'elle me posât la question.
J'ai besoin de toi, Michael, et je te demande ton aide.
J'ai besoin de toi, Michael.
J'ai du mal à croire que j'ai participé àcette formidable épopée.
J'ai entrevu un continent merveilleux et je voudrais en apprendre davantage là-dessus.
J'ai même feuilleté des livres où il ne se passait rien.
J'ai sauté sur l'occasion.
J'ai tenu à vous présenter le docteur Michael Pinson.
J'ai tué deux hommes.
J'ai valdingué dans les airs et je me suis assommé en retombant.
J'aidais Rose dans ses calculs.
J'aimais bien l'entendre rire.
J'aimais bien marcher aux côtés de sa longue silhouette maigre.
J'allai vers elle et restai debout. Elle se tourna vers moi et me sourit un peu.
J'allais dire: «Pour m'excuser», mais le mot me parut faible. Je me mis à dire la vérité.
J'appris par la suite que ce n'était pas par hasard que Raoul s'intéressait à la mort.
J'approuvai derechef tandis que ma dulcinée poursuivait.
J'arrivais le matin à l'hôpital.
J'aurai de la peine à m'en tirer, pensa Gringoire. Il tenta pourtant encore un effort.
J'aurais déguerpi sur-le-champ si Raoul ne m'avait entraîné vers la dame à la touffe blonde.
J'aurais dû rappeler à Raoul que je savais très bien pourquoi il s'intéressait à la mort.
J'aurais mieux fait de me taire.
J'aurais voulu être ailleurs, occupé à autre chose. N'avoir jamais participé à cette opération.
J'avais amélioré la méthode de Raoul en utilisant désormais non pas une, mais trois piécettes.
J'avais dû avoir un drôle d'air, car il se mit à rire.
J'avais envie de parler, mais je ne pouvais plus rien faire, ni dire, ni bouger.
J'avais fini mes rangements. Je m'assis sur le lit, d écouragée. Catherine se fit gentille.
J'avais honte.
J'avais hâte de fuir ce lieu mortel.
J'avais juste sept ans et je venais de mourir pour la première fois.
J'avais perdu connaissance depuis trois heures et je n'en avais aucun souvenir!
J'avais piqué une de ces colères !
J'avais quatorze ans quand Raoul vint me chercher à la maison en m'intimant de me dépêcher.
J'avais trente-deux ans quand Raoul revint sans crier gare dans mon existence.
J'avalai de travers une bouchée de toast au saumon de Norvège et engloutis une flûte de champagne.
J'empoignai Raoul par l'épaule.
J'en ai plus qu'assez de vivre toute seule.
J'entends au contraire qu'on doit avoir ce sentiment par un principe d'intérêt humain. ".
J'envisageai le pire:
J'essaie de te comprendre et je ne te comprends pas.
J'essayais de ne pas me laisser gagner par cette frénésie qui rendait Raoul si nerveux.
J'eus ensuite un contact plus direct avec la mort.
J'eus l'impression qu'ils regrettaient un peu que je m'en sois tiré.
J'eus l'impression que les gardiens que nous croisions nous considéraient d'un oeil mauvais.
J'eus très peur.
J'eus un geste vague.
J'eus un instant envie de lui dire " va-t'en vite, tant qu'il est encore temps ".
J'eus un r éveil de conscience.
J'eus un sourire amer.
J'examinai la scène.
J'hésitai, mais comment éluder la question ?
J'hésite d'abord, et puis je me précipite.
J'ignore comment doser avec précision les produits anesthésiants.
J'insistai, contemplant moi aussi la montagne de lumière du jugement dernier.
J'irais donc en enfer, mon fils, si tu n'accomplissais pas mes volontés.
J'optai pour un logis au troisième étage.
J'ordonne
J'ouvris la porte et je criai:
J'y grimpais et des chevaux de feu m'entraînaient vers le soleil.
J'y plongeai aussitôt comme dans un gouffre noir.
J'y retrouverai mon André, là ou dans une autre vie, ça m'est égal.
J'étais affolée.