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Diccionario francés-ruso

"    (    -    0    1    2    3    4    5    6    7    8    9    A    B    C    D    E    F    G    H    I    J    K    L    M    N    O    P    Q    R    S    T    U    V    W    X    Y    Z    «    °    Μ    À        Æ    Ç    È    É    Ê    Π   Ô    Œ    Α    Β    Γ    А    Б    В    Г    Д    Е    Ж    З    И    Й    К    Л    М    Н    О    П    Р    С    Т    У    Ф    Х    Ц    Ч    Ш    Щ    Э    Ю    Я    Ё               
Palabras que comienzan con "«": 188
« Vous trouvez ces gens ennuyeux, n'est-ce pas? dit-il. Toutes ces femmes pépient beaucoup.
« Vous voyez que j’ai déjà gagné la moitié de la gageure. »
« Vous êtes donc allemand? lui dit le jésuite en cette langue.
« Vous êtes drôle, Dominique. Je vous trouve très plaisante. Allons parler plus loin, venez.»
« Voyons, voyons, repris-je sur un ton allègre, vous n'êtes pas si laid que ça!»
« Ôtez ce voile », dit la vieille à Candide.
«... Bref, je l'aime, achevait-elle.
«A part cela, je ne suis pas blessée, repris-je nerveusement.
«A ton âge, on ne pense pas au futur. Moi je me prépare une vieillesse agréable, avec des disques.
«Allons déjeuner, dit Françoise. Je meurs de faim.»
«Ami de Radio»
«Au revoir, Bertrand. Pardonne-moi.
«C'est bien celui-là que tu veux?
«C'est grave?
«C'est tout à fait ça. Très, très intéressant. Formule excellente. Dominique, bravo!
«C'est un fou rire nerveux, dis-je. Parce que vous conduisez vite et qu'on ne se sent pas fiers.
«C'est une bonne idée, repris-je. A vrai dire, je n'avais pas pensé au départ.
«C'est une excellente idée. En même temps j'apprendrai à conduire à Dominique.
«C'était bête, dit-elle, je savais bien que, vous et Luc, ce n'était pas grave.»
«Ce n'était pas cela», dis-je, et je me levai.
«Ce sont des...»
«Ce type sait, dit-il, pour toi et moi. » Il disait cela pensivement, sans crainte apparente.
«Cet autre chose, c'est un manque.» Quelqu'un m'avait-il jamais manqué?
«Cette villa est ravissante, - soupira-t-elle. - Où est le maître de maison?
«Comment s'est passé le dernier voyage? dit Bertrand.
«Conduis», dit Luc.
«Dans quinze jours.
«Des quoi? Alors, on a des petits coups de jeunesse?»
«Dominique, j'aurais aimé vous téléphoner plus tôt. Vous voulez venir me voir quand même?
«Dominique, je voulais m'excuser. Je n'aurais peut-être dû rien dire à Bertrand. Qu'en penses-tu?»
«Dominique?
«Eh bien, nous sommes prêts, dit-il enfin. Je vais sonner pour les bagages.»
«Eh bien. moi. continua-t-elle, comme si c'était une révélation, je suis amoureuse.
«Eh oui», fis-je
«En fin de compte, ce départ me soulage, dit Bertrand. On ne peut pas toujours voir les mêmes gens.»
«Es-tu folle... ou simplement sportive? dit Luc.
«Et Bertrand, c'est vraiment fini?» Je haussai les épaules:
«Et Françoise? dis-je.
«Et maintenant, raconte.»
«Et voilà», dis-je.
«Et voilà», dit Luc.
«Françoise!» appela Pierre derrière nous.
«Il fait très doux, dit-elle, j'adore l'automne.»
«Il va bien.
«Il va falloir que je m'en aille, dit-il. Cinq heures moins le quart! C'est tard.
«J'ai peur», dis-je à Luc.
«J'aime beaucoup cet air», dit Luc tranquillement.
«J'exagère, dis-je tout haut.
«Je disais ça pour rire, excusez-moi. Je suis sure qu'au fond, ils sont très contents.»
«Je dois aller voir mon oncle, le voyageur, dit Bertrand. Tu viens?»
«Je déteste ce genre de réflexion, dit Anne. A votre âge, c'est plus que stupide, c'est pénible.»
«Je mange trop de gâteaux sous prétexte que j'aime les gâteaux. Et puis, il y a ces rides, là.»
«Je ne le vois plus. Je veux dire: je ne le regarde plus.
«Je ne serai pas là, dis-je.
«Je ne suis pas si gentille que ça.
«Je pense au couvent», repris-je gravement.
«Je suis désolée, dis-je, je ne peux pas.»
«Je vais prendre mon maillot là-haut.»
«Je vais te rendre à Françoise en bon état, dis-je plaisamment.
«Je vais vous ramener», dit Luc nonchalamment.
«Je vous en prie», dit Anne sèchement.
«Je vous pardonne d'avance, dis-je.
«Le pire, c'est que c'est peut-être vrai, pensai-je en ouvrant mon armoire. Un jour de cafard...»
«Les gens disent que la sieste est très reposante, mais je crois que c'est une idée fausse...»
«Luc, dit Bertrand, je suis venu avec une amie, Dominique. C'est mon oncle Luc, le voyageur.»
«Là, mon vieux, disait Alain patient, là!»
«Ma pauvre Dominique, quel gâchis!»
«Mais je pensais que Françoise t'attendait?
«Mais que fais-je donc ici?»
«Moi, j'étais jalouse, dit-elle à voix basse, j'étais jalouse physiquement.»